La revue de presse du mardi 2 janvier

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La revue de presse du mardi 23 avril
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Déficit hydrique: Laftit mobilise les walis et gouverneurs, tourisme : Le Maroc, une des meilleures destinations à visiter en 2024, sociétés régionales: les syndicats de l’eau et de l’électricité montent au créneau…, voici les principaux titres de la presse nationale parue ce mardi 2 janvier 2024:

L’Economiste
Déficit hydrique: Laftit mobilise les walis et gouverneurs 

Face à la situation de stress hydrique, le ministère de l’Intérieur mobilise les walis et gouverneurs. Une circulaire a été adressée par Abdelouafi Laftit aux responsables au niveau territorial au sujet de la rareté des ressources hydriques et du recul du taux de remplissage des barrages. Ils devront tenir des réunions mensuelles, notamment avec les opérateurs de distribution, afin d’établir et d’actualiser régulièrement la cartographie de consommation d’eau par quartier. Les opérateurs devront également produire, mensuellement, un reporting des déperditions au niveau des canalisations, et les actions engagées pour y faire face.

Le Matin
Tourisme : Le Maroc, une des meilleures destinations à visiter en 2024 (CNN)

Le grand média recommande aux touristes d’aller à la découverte d’autres endroits du Royaume, comme Tétouan et Meknès, “moins fréquentés mais sans doute tout aussi séduisants” que les villes très prisées de Marrakech, Rabat et Fès

Al Khabar
Projet des sociétés régionales: les syndicats de l’eau et de l’électricité montent au créneau

Des signes de tension sociale commencent à poindre au sein de l’Office National de l’Électricité et de l’Eau potable (ONEE) en raison de la décision des autorités gouvernementales de créer des sociétés régionales multiservices chargées de la distribution d’eau et d’électricité et d’y transférer le personnel. Mais, les syndicats s’opposent à cette tendance. Une coordination syndicale du personnel de l’ONEE (Branche de l’eau) a annoncé des grèves nationales les 3, 4 et 5, les 16-17-18 et les 25-24-26 courant. Les syndicalistes accusent la Direction générale de fermer les portes du dialogue avec la coordination syndicale pour négocier des revendications urgentes et d’autres revendications en suspens se rapportant à l’avenir des employés, déclarant leur « rejet » de la manière dont le projet a été adopté et “l’exclusion” des partenaires sociaux.

Assabah
Les ministres sous la pression des réformes de l’année 2024

Certains ministres devraient s’attaquer, au début de la nouvelle année, à des dossiers brûlants et urgents accumulés par les gouvernements précédents. Parmi ces dossiers figurent notamment la réforme des retraites, la réforme du Code du travail, la loi réglementant les grèves et la loi organique relative aux syndicats, selon les déclarations de certains ministres faites au journal avant la fin de l’année dernière. Cinq ministres seront appelés à ouvrir la porte au dialogue et à la négociation avec les partenaires sociaux sur quatre dossiers brûlants dès ce mois dans le but de parvenir à des accords qui seront inscrits dans le projet de loi de finances 2025. Les centrales syndicales sont confrontées à un défi majeur qui les mettrait dans une situation délicate. Car soit elles retrouveront leur fonction de défense des droits acquis des travailleurs, soit leurs fonctions prendaient fin si elles acceptaient les solutions incluses dans les avant-projets de réformes relatifs aux régimes de retraite, à la loi sur les grèves et au Code du travail.

Al Ahdath almaghribia
Une proposition de loi pour combattre les violences numériques à l’égard des femmes

Au moment où les concertations se poursuivent pour mettre en place un nouveau Code de la famille répondant aux évolutions de cette époque, les violences faites aux femmes continuent d’être au centre des préoccupations des partis politiques au Parlement. A cet égard, le groupe Mouvement populaire à la Chambre des représentants a déposé une proposition de loi visant à modifier et compléter la loi relative à la lutte contre les violences faites aux femmes, afin que ce texte soit en phase avec l’essor numérique que connaît le monde, y compris le Maroc. Le groupe parlementaire du parti de l’Epi a proposé de sanctionner les personnes qui recourent à la menace à des fins de chantage par tous moyens, y compris par les systèmes informatiques. Ce texte tend également à punir les personnes qui commettent via le numérique des injures ou des diffamations contre la femme en raison de son sexe. Les amendements prévoient des amendes sévères pouvant atteindre 120 000 dirhams.

 

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