Subvention du lait en poudre, gazoduc Maroc-Nigeria, service militaire... Voici les principaux titres développés par…
La revue de presse du mercredi 23 novembre
Publié leImmobilier: Le programme gouvernemental est-il infaisable, l’Etat, futur grand opérateur du e-commerce ?, TIC sur les produits sucrés: la reformulation sera-t-elle au goût de tous?… voici les principaux titres de la presse nationale parue ce mercredi 23 novembre 2022:
Immobilier: Le programme gouvernemental est-il infaisable
L’Etat, futur grand opérateur du e-commerce ?
Nizar Baraka : 45% du budget de l’Équipement vont à la maintenance des routes
Les Inspiration Eco
TIC sur les produits sucrés: la reformulation sera-t-elle au goût de tous?
Une norme devrait voir le jour incessamment sur les produits sucrés, dont la TIC introduite dans le PLF 2023 a été adoptée par la première chambre. Pour éviter une facture salée, les industriels devront s’y confirmer d’ici 2025. Certains devraient vraisemblablement avoir du mal à s’y adapter.
L’Opinion
Benmoussa VS Enseignants-cadres : Vers la fin d’un bras de fer onéreux pour l’Etat ?
Le ministre de l’Education nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa, vient de tenir une réunion, lundi 21 novembre, avec les syndicats les plus représentatifs du secteur de l’Education. Une manière d’absorber la colère des enseignants contractuels qui persiste depuis 2016. La problématique liée au statut des enseignants contractuels persiste depuis 2016 impactant la qualité du système éducatif à cause des grèves répétitives de cette catégorie du personnel de l’Education nationale. Pour surmonter cette situation conflictuelle, des pistes de solution viennent d’être proposées par le ministre de tutelle lors de cette réunion, en présence des cinq syndicats les plus représentatifs du secteur de l’Education, notamment la Fédération nationale de l’enseignement (FNE).
Al Bayane
Le Groupe OCP lance son premier projet de culture et de certification Carbone au Brésil
Le Groupe OCP, leader mondial de la nutrition des plantes et premier producteur mondial d’engrais phosphatés, a annoncé un partenariat pour projet initial de culture et de certification carbone dans le « Matto Grosso », région agricole qui produit l’essentiel des céréales et produits d’élevage du Brésil, aux côtés de la coopérative d’agriculteurs Bioline by Invivo et de la société agritech « Agrorobótica ». L’exploitant agricole sélectionné est quant à lui l’une des premières sociétés agricoles brésiliennes à adopter les nouvelles technologies dans l’agriculture, indique le groupe dans un communiqué.
Maroc Le Jour
L’Alliance entre les civilisations est appelée à identifier les similitudes et les synergies entre les différentes cultures et religions
L’Alliance des civilisations doit être une initiative qui étudie et découvre les similitudes et les synergies qui existent tant au niveau philosophique que religieux et pratique entre les différentes cultures et religions, tout en aidant à distinguer et identifier leurs différences, a affirmé, à Fès, le Haut-Représentant de l’Alliance des Nations Unies pour les civilisations (UNAOC), Miguel Ángel Moratinos. S’exprimant à l’occasion de l’ouverture du 9ème forum de l’UNAOC à Fès, (22-23 courant), Moratinos a expliqué que ces différences doivent être résolues dans le cadre d’un dialogue ouvert et de manière pacifique afin de trouver des solutions et d’éviter qu’elles ne soient manipulées et utilisées comme source de controverse.
Al Massae
La Fédération des boulangeries dit ne recevoir aucune subvention du gouvernement
Les déclarations du porte-parole officiel du gouvernement, Mustapha Baitas, qui a évoqué une subvention du gouvernement d’un dirham pour chaque pain afin d’éviter une augmentation de son prix, ont une fois de plus suscité l’ire de la Fédération marocaine des boulangeries et pâtisseries. Pour cette Fédération, les propos de Baitas sont de la désinformation et masquent le véritable bénéficiaire de ce soutien, affirmant que le secteur de la boulangerie et des pâtisseries ne reçoit aucun soutien gouvernemental pour maintenir le prix à 1,20 dirhams la pièce. Elle a par ailleurs expliqué que 90% des professionnels ne sont plus en mesure de supporter les charges élevées des matières premières et de l’énergie, en plus des coûts de la main-d’œuvre.