La revue de presse de ce mercredi 31 mai

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La revue de presse de ce jeudi 18 octobre
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Pour Miri Regev, ministre des Transports et de la Sécurité routière d’Israëlnous la multiplication des accords conclus entre les entreprises, offre de nouvelles perspectives de développement entre le Maroc et Israël; Le binôme à la tête de la CGEM insiste sur le fait que «l’amélioration du climat des affaires est un travail continu, qui ne se limite pas à un mandat ou à un gouvernement; le prix d’une tête d’ovin à l’étranger n’est pas aussi abordable que l’on pense», tranche la Fédération Marocaine des Acteurs de la Filière Élevage… 

Voici une sélection de sujets abordés par la presse nationale ce mercredi 31 mai

L’Economiste

Miri Regev, ministre israélienne: “Chaque accord signé renforce davantage nos relations” 
Lors de sa première visite au Maroc, Miri Regev, ministre des Transports et de la Sécurité routière d’Israël, a signé trois accords avec son homologue marocain, Mohamed Abdeljalil. Ces accords portent sur la reconnaissance mutuelle des permis de conduire, l’encouragement du commerce maritime, et la facilitation des échanges en matière de sécurité routière et d’innovation dans le domaine des transports. “Il est essentiel de souligner que chaque accord signé renforce davantage les relations économiques entre le Maroc et Israël”, a affirmé Regev dans un entretien accordé au journal, estimant qu’“avec le temps, nous assistons à une multiplication des accords conclus entre les entreprises, offrant ainsi de nouvelles perspectives de développement entre le Maroc et Israël, notamment dans le domaine de la mobilité durable”. Elle s’est dite d’ailleurs “persuadée que les accords conclus entre nos ministères respectifs facilitent grandement nos échanges économiques et encouragent l’établissement de partenariats entre entreprises”.

 

L’Economiste

Climat des affaires : les chantiers urgents du patronat 
Pour le binôme à la tête de la CGEM, le nouveau mandat est synonyme de nouveaux challenges. Néanmoins, certains dossiers traînent depuis plusieurs années. En dépit de certaines avancées, beaucoup de travail reste encore à mener. «Nous n’allons pas nous inventer de nouveaux problèmes parce que c’est un nouveau mandat», a noté Mehdi Tazi, vice-président général du patronat. Invité du Club de L’Economiste, il a souligné que parmi les priorités, le fait qu’il faut continuer d’améliorer le climat des affaires, au même titre que d’autres dossiers. Chakib Alj, président de la CGEM, a mis l’accent sur ces priorités, qui concernent, outre le climat des affaires, le capital humain, l’inclusion économique, sociale et territoriale… Le binôme à la tête de la CGEM insiste sur le fait que «l’amélioration du climat des affaires est un travail continu, qui ne se limite pas à un mandat ou à un gouvernement». Parmi les points cités: la fiscalité. «Un grand travail a été fait en matière d’IS. Maintenant, il reste les aspects liés à la fiscalité locale, à la TVA…qui sont nos priorités pour cette année», a souligné Tazi. Idem pour l’amélioration de l’accès au foncier.

Al Ahdath almaghribia

Vers la fin de la Caisse de compensation 
Le compte à rebours pour annuler la Caisse compensation et la subvention de trois produits de consommation (gaz butane, sucre et farine de blé tendre) commencera dans les prochaines semaines, selon des informations obtenues par le journal. Le gouvernement envisage de présenter au mois de juin tous les scénarios possibles permettant la suppression de cette Caisse, qui coûtera 26 milliards de dirhams l’année en cours. L’abolition de cette Caisse et l’arrêt de la subvention de trois produits subventionnés par cette Caisse ne semblent être qu’une question de temps. Nadia Fettah, ministre de l’Economie et des Finances, a affirmé que le gouvernement poursuivrait la subvention des produits concernés, en attendant la promulgation de la loi de finances pour 2024

Bayane Al Yaoum

Journée mondiale sans tabac : la prévention du tabagisme des jeunes, une priorité majeure de santé publique
A l’instar des autres pays de par le monde qui célèbrent chaque 31 mai la Journée mondiale sans tabac, le Maroc ne manque pas de saisir l’occasion de tirer la sonnette d’alarme sur le fléau du tabagisme qui ne cesse d’envahir le quotidien de plusieurs personnes, en l’occurrence les jeunes. C’est aussi l’occasion de faire le point sur les avancées réalisées dans la lutte contre ce problème de santé publique. Cette journée, célébrée cette année sous le thème « Cultivons des aliments, pas du tabac », apparaît comme nécessaire pour rappeler et alerter sur les dangers du tabagisme qui constitue la principale cause de décès et de maladies évitables. Le ministère de la Santé et de la protection sociale avait d’ailleurs indiqué en 2022 que « la prévalence du tabagisme au Maroc est de 13.4% chez les adultes âgés de plus de 18 ans, dont 26.9% des hommes et 0,4% des femmes [STEPS 2018] ». Chez les élèves de 13 à 15 ans, la prévalence du tabagisme est de 6% [GYTS 2016] alors qu’environ 35.6% de la population est exposée au tabagisme passif dans les lieux publics et professionnels.

 

L’Opinion

Aïd Al-Adha: les éleveurs réagissent à la polémique des moutons à 700 dhs
Depuis quelques semaines, des informations circulant sur les réseaux sociaux indiquent que les cheptels importés d’Europe sont vendus au Maroc à plus de 2500 dirhams par tête, alors qu’ils sont achetés à pas plus de 700 dirhams. Cette information, devenue virale sur les réseaux sociaux, a suscité l’indignation des Marocains, et ce, compte tenu de la prétendue différence entre le prix d’importation et celui de vente sur le marché national. Les internautes ont de même adressé de virulentes critiques aux importateurs, d’autant plus que ces derniers reçoivent un soutien estimé de 500 dirhams pour tête de cheptel importé spécifiquement pour l’Aïd Al-Adha. Contacté par le journal, le président de la Fédération Marocaine des Acteurs de la Filière Élevage (FMAFE), Mohamed Jebli, a balayé d’un revers de main ces informations. «Ce n’est pas vrai, le prix d’une tête d’ovin à létranger n’est pas aussi abordable que l’on pense». Ainsi, «grâce au soutien du gouvernement, le prix de vente ne dépassera pas celui des années dernières et restera aux alentours de 57 dirhams/kg », rassure Mohamed Jebli.

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