La revue de presse de ce mercredi 12 juillet

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La revue de presse de ce jeudi 18 octobre
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Pas de régime de faveur pour les opérations triangulaires, tranche la Direction générale des impôts ; Les tarifs des business schools sont généralement soit plus élevés, soit quasiment identiques à ceux des écoles d’ingénieurs ; Les recherches scientifiques conduites montrent qu’El Niño n’a pas d’impact direct et stationnaire sur la région géographique dont fait partie le Maroc, souligne une chercheuse au Centre national du climat…

Voici une sélection des sujets traités par la presse ce mercredi 12 juillet. 

L’Economiste

Impôt : pas de régime de faveur pour les opérations triangulaires
Le traitement fiscal du négoce triangulaire donne le tournis aux praticiens. Il s’agit des transactions commerciales réalisées par des partenaires situés dans trois États sans qu’aucune marchandise ne transite par le Maroc. Si bien qu’un professionnel a demandé l’avis de la Direction générale des impôts. Selon l’administration fiscale, ce type de business n’a jamais bénéficié des avantages fiscaux de l’export. Le régime de faveur disparaîtra définitivement à partir de 2026, année où le taux d’IS sera fixé à 20%. Reste la question de la TVA. Hors champ de la taxe, les transactions réalisées à l’étranger ne donneraient pas droit au remboursement ni à des achats en suspension de la taxe sans l’attestation de la douane.

L’Economiste

Pourquoi les business schools coûtent aussi cher?
« Nous avons eu une transposition du phénomène. Les jeunes qui s’orientent vers le business sont issus des classes sociales économiquement élevées, alors que ceux choisissant l’ingénierie sont issus de la classe moyenne », explique le directeur d’une école. Il s’agit aussi, selon lui, en partie d’une question “historique”, et plus exactement d’un héritage du système français. Dans ce système, les business schools sont supportées par les chambres de commerce. Elles visent une catégorie sociale plutôt élevée. Les écoles d’ingénieurs, elles, sont financées par l’Etat, et ciblent plus des catégories sociales moyennes. Si l’on prend les écoles reconnues par l’Etat, parmi les plus en vue sur le marché, les tarifs des business schools sont généralement soit plus élevés, soit quasiment identiques à ceux des écoles d’ingénieurs. Et quand ils sont plus chers, la différence peut aller jusqu’à 24.000 DH.

L’Opinion

MRE : la 24ème édition du Séjour Culturel se poursuit à Kénitra
La Fondation Hassan II pour les Marocains Résidant à l’étranger organise la 24 édition du Séjour Culturel au profit des enfants des MRE du 8 juillet au 22 août 2023 au Centre de la Fondation à Kénitra. Ainsi, 720 enfants participants seront accueillis sur trois périodes: la première du 8 au 21 juillet 2023, la deuxième du 24 juillet au 6 août et la troisième du 9 au 22 août 2023, indique un communiqué de la Fondation. Agés entre 9 et 13 ans, ces enfants résident en France, Belgique, Espagne, Pays-Bas, Italie, Grande Bretagne, États-Unis, Canada, Côte d’Ivoire, Sénégal, Gabon, Gambie, Mauritanie, Tunisie et l’Algérie.

L’Opinion

Hausse des températures : Le Maroc doit-il craindre les retombées d’un super- El Niño?
Phénomène climatique cyclique, El Niño est de retour avec des risques climatiques et sanitaires alarmants à l’échelle du globe. Après plusieurs mois de spéculations, les scientifiques confirment le début de ce nouvel épisode qui devrait durer entre 9 et 12 mois, touchant de plein fouet certaines régions. Subissant des vagues successives de canicule et de sécheresse, le Maroc se situe dans l’une des régions mondiales qui ne sont pas concernées directement par cette problématique, vu sa position géographique par rapport à l’océan Pacifique. “Les recherches scientifiques conduites en la matière montrent qu’El Niño n’a pas d’impact direct et stationnaire sur la région géographique dont fait partie le Maroc”, rassure Rhizlane Feddoul, Ingénieur de Recherche et Développement au Centre national du climat.

Al Alam
Le partenariat maroco-allemand, porteur de développement et de stabilité
Le renforcement du partenariat maroco-allemand contribuera au développement économique et à la stabilité de la région, a affirmé le politologue Samy Charchira. La coopération entre les deux pays joue un rôle important non seulement sur le plan géopolitique, mais aussi économique, a souligné Charchira, notant que la consolidation du partenariat avec le Maroc est de nature à favoriser l’accès de l’Allemagne aux marchés africains et ouvrir les opportunités de coopération économique. « Les deux pays bénéficieront largement d’un tel partenariat stratégique », a ajouté le politologue marocain, établi en Allemagne. En ce qui concerne le soutien de l’Allemagne au plan marocain d’autonomie au Sahara, Charchira a souligné que l’appui de Berlin au royaume ‘’renforcera les relations bilatérales sur le long terme et favorisera la coopération dans divers domaines’’

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