Vidéo. Isolés, des descendants d’esclaves vivent comme des parias près de Chefchaouen
Publié leBannis comme la peste, des descendants d’esclaves continuent de vivre dans l’isolement dans le village de Khandak Al Rihan, à quelques encablures de Chefchaouen.
Au Maroc, les immigrés subsahariens ne sont pas les seuls à souffrir de racisme. A Khandak Al Rihan, un petit village coincé dans les montagnes du pré-rif, non loin de Chefchaouen, une communauté constituée de descendants d’esclaves continue de vivre dans l’isolement le plus total. Bannis par la société, les membres de la communauté se plaignent de discriminations en tous genre. Des images révoltantes diffusées par la Web tv américaine Maghreb Voices.