Vidéo. Rachid Allali et Momo font le show sur les réseaux sociaux

Un nouveau clash a éclaté ce week-end entre les deux animateurs Momo d’Hit Radio et Rachid Allali de 2M. Pourquoi cette « prise de bec » a pris de l’ampleur.

Après la polémique Ziyech contre Fati Jamali, place au battle Momo vs Rachid Allali. Si la régle veut que ce sont les rappeurs qui se clashent durant cette période au Maroc, ceci ne semblent plus être « l’apanage » des seigneurs des piques rythmées. Les artistes  du rap marocain ont, cette fois, cédé le « ring » à deux animateurs jouissant d’une large fanbase sous nos latitudes.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par الصحراوية اوفيسيال (@s7rawia_tv)

Depuis samedi, une vidéo regroupant des story Instagram de Mohamed Bousfiha Aka Momo et de Rachid Allali fait la joie des internautes friands de ce contenu sur les réseaux sociaux. Dans cet enregistrement, les deux figures du paysage médiatique national se livrent à des joutes verbales assez piquantes. Flash-back!

Tout porte à croire que c’est Momo qui aurait démarré cet échange tout sauf courtois. Samedi, l’animateur radio a dégainé en premier en publiant une story dans laquelle il partage avec ses followers sa soirée de vendredi en compagnie de sa mère devant la télévision.

Photo. Le Roi Mohammed VI aperçu à Dubaï avant ses vacances aux Seychelles

Durant cette soirée en famille devant son poste de télé, Momo s’est mis à critiquer le programme présenté par Rachid Allali.

Il se trouve que 2M a dévoilé vendredi dernier le dernier épisode du Rachid Show.  Allali s’est donc senti visé et a décidé de riposter après cette pique bien méchante. Sur son compte Instagram, ce dernier a publié un extrait de l’un de ses anciens épisodes avec Momo comme invité.

Dans cette courte vidéo, l’animateur radio avait indiqué qu’il rêvait également de faire carrière sur le petit écran. Touché dans son égo, Momo ne s’est pas retenu! Il a tenu à rappeler à Allali que s’il avait vraiment pensé à faire de la télévision il l’aurait détrôné sur “tous les plans”.

Ce qui n’est pas sans rappeler les « rap game »: si dans un passé tout récent les rappeurs faisaient appel aux injures, par tubes interposés pour faire marcher les affaires et écouler leurs disques, à l’ère des réseaux sociaux, ces battles garantissent une présence assurée (quoique éphémère) dans le vaste royaume du virtuel. En somme, du bluff!