Films X, prostituée marocaine, impayés… le scandale post-mortem d’un prince saoudien
Publié leLe prince Saoud Al-Fayçal, mort d’une crise cardiaque à Los Angeles en 2015, est aujourd’hui attaqué en justice par une société française de services de conciergerie privé, qui affirme avoir produit pour lui des films pornographiques personnalisés et impayés. La dette s’élève à 90.000 euros.
Le tribunal de grande instance (TGI) de Nanterre, près de Paris, a estimé que la société Atyla n’avait pas fait la démonstration de l’existence d’un contrat avec la SCI Bugeaud, détenue par plusieurs membres de la famille royale saoudienne. Atyla “ne produit aucun document contractuel justifiant de ce que celle-ci lui aurait commandé des prestations à caractère pornographique et notamment la réalisation d’un film de cette nature“, peut-on lire dans la décision.
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