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Publié leLe ministre de la Justice, Abdellatif Ouahbi, a sévèrement critiqué le régime algérien qui «tient en otage une partie de la population marocaine dans les camps de réfugiés de Tindouf pour créer une crise et la faire perdurer» en droite ligne avec sa politique d’État consistant «à mettre les bâtons dans la roue du développement du Maroc depuis la récupération de ses provinces du Sud en 1975».
S’exprimant mardi à l’occasion du dialogue interactif au titre du 4e cycle du mécanisme de l’Examen périodique universel (EPU), qui s’est déroulé au Palais des Nations unies à Genève, le ministre pointé du doigt «l’instrumentalisation des séquestrés de Tindouf dans des affaires de droits de l’homme par le voisin de l’Est.
«Celui qui veut parler des droits de l’Homme doit d’abord les respecter chez lui, notamment, quand son peuple sort dans des manifestations et aussi en garantissant les conditions d’un procès équitable», a-t-il clamé.
Et d’aller plus loin : «C’est le pays de la région qui a le plus de moyens financiers grâce au pétrole, mais son peuple a faim et fait la queue devant les magasins pour obtenir un litre d’huile». «Ça me désole vraiment. Mais, personne ne peut nous donner des leçons. Celui dont la maison est de verre doit se garder de jeter des pierres aux autres», s’est insurgé le ministre.
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Abdellatif Ouahbi a relevé, en revanche, que la protection et la promotion des droits humains sont des choix «constants et irréversibles» pour le Maroc.
«Ces choix se traduisent par le renforcement de l’adhésion du royaume aux mécanismes onusiens des droits de l’Homme», a souligné Abdellatif Ouahbi relevant que la période couverte par le rapport national (2017-2022) a vu le renforcement de l’implication du royaume aux mécanismes onusiens des droits de l’homme, avec la poursuite de son adhésion aux protocoles facultatifs aux conventions fondamentales des droits de l’homme.