Rétrospective: Gad Elmaleh, Hakimi, Faudel…, ils ont fait le buzz en 2023

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L’humoriste marocain Gad Elmaleh s’est montré on ne peut plus fier de sa marocanité samedi sur le plateau de l’émission «C l’Hebdo» sur France 5, invitant les Français à «s’inspirer du Maroc plutôt que de donner des leçons sur comment on doit être solidaire» pendant ces temps difficiles, après le séisme qui a frappé le Maroc le 8 septembre.
© Capture vidéo.

L’année 2023 touche à sa fin. Ce fut une année très mouvementée sur les réseaux sociaux. Voici une sélection des faits qui ont marqué 2023.

Achraf Hakimi et son photobomb à Tokyo

Achraf Hakimi, l’international Marocain du Paris Saint-Germain en tournée au Japon avec son club, avait créé l’événement à Tokyo lors d’une escapade nocturne avec Lucas Hernandez.

Une vidéo spontanée, devenue virale, immortalise le moment où les deux joueurs font irruption dans une séance photo improvisée d’une jeune femme dans les rues de Tokyo.

 

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Le sourire aux lèvres, Hakimi et Hernandez se joignent à la scène, déclenchant l’effet de surprise de la jeune femme. Cette courte séquence hilarante a rapidement fait le tour des réseaux sociaux au Maroc.

Le Maroc organise la Coupe du Monde 2030 !

Il s’agit là d’un des faits qui a le plus marqué les Marocains cette année. Le Royaume s’apprête à accueillir l’une des plus grandes manifestations sportives mondiales, la Coupe du Monde 2030.

Le Roi Mohammed VI: « Le Maroc organisera la Coupe du monde 2030 »

L’annonce officielle, dévoilée par le Cabinet Royal, a été accueillie avec enthousiasme par le peuple marocain. Le Roi Mohammed VI a partagé la nouvelle, soulignant la reconnaissance internationale de la place significative qu’occupe le Maroc dans le monde du ballon rond.

Sur les réseaux sociaux, on ne parlait que de l’organisation du Mondial par le Maroc. Un buzz qui a même duré plus d’une semaine.

Neo Motors et NamX, le futur de l’industrie automobile

Le Palais Royal de Rabat a été en début d’année le théâtre de la cérémonie de présentation de Neo Motors et NamX en tant que pionniers de l’industrie automobile au Maroc.
Neo Motors, détenue par des capitaux marocains, a dévoilé son modèle de voiture, renforçant ainsi la promotion du label «Made In Morocco».

Parallèlement, NamX a présenté son prototype révolutionnaire, le HUV (Hydrogen Utility Vehicle), soulignant la volonté royale de soutenir les initiatives entrepreneuriales nationales et de stimuler la créativité, en particulier chez les jeunes entrepreneurs marocains.

En 2023, Neo Motors et NamX ont indéniablement marqué l’histoire de l’industrie automobile au Maroc, suscitant un élan de fierté nationale et d’optimiste.

Quand Faudel a invité Abdelmadjid Tebboune à boire un thé à la menthe au Maroc

La déclaration audacieuse du chanteur algérien Faudel, invitant le président Abdelmadjid Tebboune à partager un verre de thé au Maroc, a déclenché une polémique sur les réseaux sociaux.

Invité dans une radio marocaine, Faudel a répondu avec une proposition qui a divisé les internautes algériens entre ceux qui ont salué son geste et ceux qui l’ont accusé de trahison.

Face à l’ampleur de la controverse, Faudel a choisi de s’exprimer via les réseaux sociaux, publiant une vidéo pour clarifier ses intentions. Né en France, il a souligné son attachement au Maroc, pays où il a obtenu la nationalité en 2011. Le chanteur a tenu à préciser qu’il n’avait pas cherché à offenser le président algérien, exprimant son respect envers chacun.

Fati Jamali vs Hakim Ziyech: Ready? Fight!

Une querelle explosive a éclaté entre l’influenceuse marocaine Fati Jamali et l’international marocain Hakim Ziyech, créant un buzz intense sur les réseaux sociaux.

C’est à travers une story Instagram que cette affaire a démarré. Selon le récit de Jamali, leur rencontre dans un centre commercial a pris une tournure inattendue. Elle a été confrontée à la nonchalance habituelle de Ziyech, qui aurait répondu à son approche par un rejet apparent.

La situation aurait ensuite dégénéré, avec des accusations de l’international marocain lançant des insultes à l’influenceuse, suscitant ainsi un bouillonnement immédiat sur les réseaux sociaux.

Les réactions en ligne ont été diverses, mais la vidéo de Jamali relatant son expérience a déclenché un débat très animé sur les réseaux.

Gad Elmaleh, marocain et il en est fier!

Gad Elmaleh a suscité créé le buzz avec sa déclaration corrigeant une animatrice sur le plateau de l’émission « C l’Hebdo » sur France 5.

Interrogé quelques jours après le séisme dans la région d’Al Haouz au Maroc, Gad a répondu sans équivoque: « Je ne suis pas Franco-marocain, mais marocain. Je suis immigré en France et j’aime profondément la France comme un immigré peut aimer la France. »

Cette prise de position a été largement applaudie par les Marocains sur les réseaux sociaux, qui ont exprimé leur sensibilité à l’égard des propos de leur compatriote. Alors que la déclaration de Gad a créé la polémique en France, elle a été chaleureusement accueillie au Maroc.

La vidéo de cette séquence a rapidement circulé sur les réseaux sociaux marocains. La fierté ressentie par les internautes marocains a été palpable, faisant de la déclaration de Gad Elmaleh un moment mémorable de l’année 2023, où l’humoriste a affirmé haut et fort son attachement à ses racines marocaines. L’humouriste possède la nationalité canadienne, mais il n’a jamais obtenu le passeport français.

Le Maroc, pays de l’unité et de la solidarité

L’élan remarquable de solidarité et de mobilisation sociale déclenché par le séisme récent dans la région d’Al Haouz a témoigné de l’unité profonde du peuple marocain et a mis en lumière les valeurs humanitaires du Royaume, surtout en temps de crise.

Cet élan continu de soutien avait transformé les opérations de secours en une source de fierté nationale, soulignant la générosité et la solidarité spontanée des Marocains.

Des dizaines de milliers de Marocains ont répondu présent aux appels urgents au don de sang qui a suscité l’admiration à l’échelle internationale. Ce mouvement de solidarité, salué pour sa spontanéité reflète en effet la détermination du Maroc à faire face aux crises avec ses propres ressources.

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