Gestion de l’eau, le Maroc fait partie des pays à risque élevé.

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Jusqu’au 3 octobre a lieu a lieu le Sommet international sur la sécurité hydrique à Marrakech, le Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) tire la sonnette d’alarme sur la gestion de l’eau au Maroc.

Le Maroc fait partie des pays à risque élevé en matière de sécurité hydrique malgré les différents travaux et actions menés au fil des années, nous rapporte L’Économiste dans son édition du jour et il ajoutent, pas moins de 145 barrages ont était construits et 18 sont en cours d’ouvrage.

Le Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) a averti que l’on se dirige vers une pénurie hydrique au Maroc car les ressources en eau sont actuellement évaluées à moins de 650 m3/habitant/an alors qu’en 1960 elles étaient à 2.500 m3, annonce L’Économiste.

 

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Le chef du gouvernement Saadeddine El Othmani, présent au sommet, annonce pendant ce temps que le plan national de l’eau 2020-2050 sera adopté avant la fin de 2019. Ce plan sera la fiche de route qui définira les orientations stratégiques en matière de mobilisation et utilisation des ressources non conventionnelles en eau.

La solution, explique Loïc Fauchon, président du Conseil mondial de l’eau serait le dessalement de l’eau de mer et explique: « Notre  devoir aujourd’hui et demain est d’accroitre la disponibilité à produire dessaler et réutiliser » nous fait savoir L’Économiste.

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