Saisi par les plaignantes dans le cadre de l’affaire Taoufik Bouachrine, jugé coupable de viols et d’agressions sexuelles, le Groupe de travail sur la détention arbitraire (GTDA), organisme onusien, a expliqué sa position.
Le président-rapporteur du GTDA, José Antonio Guevara Bermudez a souligné dans sa lettre qu’«il est d’une importance toute particulière de lutter contre les violences faites aux femmes». Le GTDA a aussi rappelé le 74e paragraphe de son rapport sur la question dans lequel il assure qu’il est « conscient des accusations de l’espèce et des droits de personnes, qui, se disant victimes ont porté l’affaire devant les autorités. »