Des faussaires de thèses universitaires dans le collimateur de Hammouchi

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Les éléments de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) enquêtent sur une affaire d’individus spécialisés dans la vente de travaux universitaires volés.
D’après les premiers éléments d’enquête, les voleurs opéreraient à travers les réseaux sociaux pour proposer leurs «services». Selon Al Massae dans son édition de ce 17 janvier, la brigade de lutte contre la cybercriminalité a identifié plusieurs pages sur le réseau social Facebook proposant des licences dans diverses spécialités.
L’enquête a été lancée après le dépôt par les doyens de différentes universités de plaintes à l’encontre d’étudiants soutenant des thèses volées. Les faussaires assurent à leurs clients qu’il est impossible de remonter à la source des travaux d’origine via les moteurs de recherche sur Internet.
Par ailleurs, le prix des travaux plagiés sous format «PDF» irait jusqu’à 2500 dirhams selon la nature des sujets traités, tandis que les formats «Word» et «FPT» seraient proposés à 1500 dirhams. De plus, les travaux en langue française sont plus chers que ceux en arabe, avec une différence de 700 dirhams.

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