Le Japon finance un projet de réinsertion des jeunes détenus au Maroc

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Prison locale de Aïn Sebaâ à Casablanca (Archives).

Un projet relatif à la réintégration des jeunes détenus et à la lutte contre la violence a été signé mercredi à Rabat par la Délégation Générale à l’Administration Pénitentiaire et à la Réinsertion (DGAPR), l’Ambassade du Japon au Maroc et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

S’étalant sur une année, ce projet qui est intégralement financé par le Gouvernement du Japon à hauteur de 446.040 USD, s’inscrit dans le cadre du projet d’appui à la mise en œuvre de la stratégie de la DGAPR, initié en mars 2016 en partenariat avec le PNUD, indique un communiqué de la DGAPR.

Selon la même source, le projet intègre également les principes des Droits Humains, la dimension genre et prend en compte le souci de la durabilité environnementale.

En effet, et afin d’en garantir la viabilité et la durabilité, ce projet vise à prévenir la violence et la récidive, et à avoir un impact local positif réel, aussi bien dans le milieu carcéral qu’au niveau de la société générale, explique le communiqué

Le projet global a déjà bénéficié d’un premier financement du Gouvernement du Japon, en mars 2016, d’un montant de 864.000 USD pour la réalisation du programme « Appui à la réforme du système pénitentiaire pour une meilleure réinsertion sociale », rappelle la même source.

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