La revue de presse du mardi 25 octobre

Publié le
La revue de presse du jeudi 27 avril
© H24Info

Le roi nomme les membres de l’Instance contre la corruption, le Maroc 2e exportateur de voitures en Afrique, des bus made in Morocco pour décarboner le secteur… Voici les principaux titres développés par la presse quotidienne de ce mardi 25 octobre:

 

Le Matin

Le roi nomme les quatre membres de l’Instance de la lutte contre la corruption

Le roi Mohammed VI a nommé les quatre membres de l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption, que la loi régissant cette Instance accorde au Souverain le droit de nommer. Il s’agit d’Abdeslam Imani, Nadia Annouz, Dounia Ben Abbas Taarji et Abdessamad Saddouq. Le souverain a également nommé Ahmed Laamoumri, Secrétaire général de l’Instance. Il convient de rappeler que Sa Majesté le Roi avait nommé Bachir Rachdi président de cette Instance.

 

L’Economiste

PLF/compensation: les charges à 3,2 milliards à fin septembre dernier

La crise Covid et la guerre en Ukraine ont lourdement impacté les charges de la compensation. C’est ce qui ressort du rapport annuel sur la Compensation, annexé au projet de loi de Finances 2023. Pour faire face aux répercussions de l’envolée des cours mondiaux des produits subventionnés sur le marché intérieur, le gouvernement a mis en œuvre une série de mesures visant à garantir la sécurité d’approvisionnement du pays et de limiter la contraction du pouvoir d’achat des citoyens. Au total, la charge de compensation prévisionnelle au titre de 2022, hors soutien aux transporteurs routiers, pourrait connaître une hausse de près de 72% par rapport à 2021. Au total, les crédits ouverts réservés à la compensation s’élèvent, à fin septembre dernier, à 32 milliards de DH.

 

Les Inspirations éco

Le fisc baisse la pression sur les entreprises inactives!

Bonne nouvelle pour les entreprises en difficulté et les entreprises dites «inactives » ! Le projet de loi de Finances 2023 prévoit d’atténuer la pression fiscale sur elles. Il est proposé de prévoir la suspension provisoire de l’application auxdites entreprises inactives de la procédure de taxation d’office, l’institution d’une procédure d’application de cette suspension provisoire de la taxation d’office, l’interruption de la prescription pendant 10 ans, ainsi que l’institution de la non-déductibilité des factures émises par ces entreprises.

 

Les Inspirations éco

Le Maroc, 2e exportateur de voitures en Afrique

Le Maroc, 2e pays exportateur de voitures en Afrique, un statut confirmé par le Projet de loi de Finances 2023. L’industrie automobile nationale a ainsi renforcé son positionnement dans la chaîne de valeur mondiale de l’automobile, avec une capacité de production annuelle de 700.000 véhicules, portée par les constructeurs Renault et Stellantis et dépassant l’objectif prévu en 2020, soit 600.000 véhicules. En effet, selon les chiffres actualisés, présentés dans le cadre du PLF 2023, le chiffre d’affaires à l’export du secteur automobile a atteint 66,7 MMDH à fin août 2022, contre 51,58 MMDH pour la même période de l’année 2021, en croissance de 29,3%.

 

L’Opinion

Mobilité électrique urbaine: des bus made in Morrocco pour décarboner le secteur?

Alors que l’industrie automobile nationale est plus développée que jamais, le Royaume s’est fixé le cap de la décarbonation du secteur du transport. Dans cette perspective, la mise en place d’une filière locale de production de bus et de minibus électriques pourrait constituer une belle opportunité pour remplacer progressivement le parc national des véhicules thermiques de transport public urbain. En capitalisant sur les atouts miniers du Royaume et sur la possibilité d’investir dans la production privée d’une électricité verte issue des énergies renouvelables, une filière de ce genre pourrait créer des emplois, réduire la pollution atmosphérique et impulser le chantier national de mobilité durable.

 

Rissalat Al Oumma

Les salaires des fonctionnaires dévorent près de 98 milliards de dirhams du budget en 8 mois

Les dépenses du personnel de l’Etat décaissées entre le 1er janvier 2022 et la fin du mois d’août de la même année se sont élevées à environ 97,9 milliards de dirhams, selon un rapport sur les ressources humaines dans la fonction publique. Ce rapport accompagnant le projet de loi de finances pour l’année 2023 précise que 83,6 milliards de ces dépenses ont été payés par la Direction des dépenses du personnel, tandis que 14,2 milliards ont été versés par le reste des comptables du trésor public du Royaume, avec un taux d’exécution d’environ 66,38%, par rapport aux prévisions de dépenses de personnel pour l’année 2022.

La rédaction vous conseille

Les titres du matinNewsletter

Tous les jours

Recevez chaque matin, l'actualité du jour : politique, international, société...

La revue de presse du mardi 25 octobre

S'ABONNER
Partager
S'abonner