La revue de presse du samedi 31 juillet

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La revue de presse du jeudi 27 avril
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Opération Marhaba 2021, l’importance de la culture de l’amandier, la RASD bientôt éjectée de l’UA… Voici les principaux titres développés par la presse nationale hebdomadaire :

Finances news hebdo

Marhaba 2021: une opération à multiples enjeux.

Réussir l’opération Marhaba 2021 tout en préservant les acquis réalisés en matière de gestion de la pandémie de la Covid-19, c’est le défi que s’est lancé le Maroc cet été. L’objectif est de permettre à des dizaines de milliers de Marocains du monde des 3ème et 4ème générations de visiter leur pays et de retrouver leurs proches et leur patrie dans les meilleures conditions. Ce sont pas moins de 4,5 milliards de DH que le gouvernement déboursera pour compenser les baisses des prix des billets de transport maritime et aérien consenties en faveur de la communauté des Marocains résidant à l’étranger souhaitant se rendre au Maroc, durant la période allant du 15 juin au 30 septembre. Des chiffres révélés par le chef du gouvernement lors de son intervention à la Chambre des conseillers. Dans le détail, les indemnités qui seront versées aux MRE qui vont regagner le Maroc par voie maritime en provenance des ports de France, d’Italie et du Portugal coûteront 2 milliards de DH. Pour le transport aérien, la baisse des prix des billets se chiffrera à pas moins de 2,5 milliards de DH.

La Vie Éco

L’amandier représente une culture importante au Maroc.

La filière se place aujourd’hui au 2ème rang en termes de superficie plantée, après l’olivier avec environ 209 233 ha, en dépassant l’objectif de 15%. Cette extension a été réalisée au profit des petits producteurs (plus de 60.000 bénéficiaires) groupés dans le cadre du projet Pilier II avec plus de 30.000 ha. Les différents types d’amandes cultivés sont représentés par les amandes en coque, les amandes douces, les amandes amères et les amandes transformées. Elles sont utilisées en tant que fruit sec, en nature, salées, torréfiées ou encore en tant qu’ingrédient pour des laboratoires pharmacologiques et comme ingrédient pour la pâtisserie ou pour les industries de chocolat et de glace. La filière joue un rôle socioéconomique important, puisqu’elle participe à la création d’environ 5 millions de journées de travail et génère une valeur commerciale de plus d’un milliard de DH. La production nationale des amandes est destinée au marché national avec un niveau de consommation annuel moyen d’environ 0,7 kg par personnes.

Challenge

Les IDE augmentent de 5,4% à fin juin.

Le flux net des investissements directs étrangers (IDE) a atteint plus de 9,61 milliards de dirhams (MMDH) au premier semestre de 2021, en hausse de 5,4% par rapport à la même période un an auparavant, selon l’Office des changes. Cette évolution est attribuable à une hausse des recettes de 13,7% à 15,56 MMDH contre 13,68 MMDH, plus importante que celle des dépenses qui sont à 5,94 MMDH, précise l’Office. S’agissant des investissements directs marocains à l’étranger (IDME), ils se sont situés à 10,62 MMDH, soit le plus haut niveau atteint durant la même période au titre des cinq dernières années, affichant une hausse de 6,08 MMDH par rapport à la même période de l’année 2020. Cet accroissement, poursuit la même source, reste légèrement inférieur à celui réalisé par les cessions de ces investissements (+6,50 MMDH). Ainsi, le flux net des IDME a baissé de 17%.

Le Temps

La RASD éjectée de l’UA?

La suspension, voire l’expulsion, de la « rasd », un groupe armé qui n’a pas les attributs d’un Etat souverain, de l’Union africaine (UA) ne doit pas être considérée comme un tabou ou un objectif irréalisable, ont estimé les participants à un séminaire tenu à Accra sous le thème « L’impératif de la relance économique : Comment la résolution de la question du Sahara peut-elle renforcer l’intégration régionale et continentale de l’Afrique ». Les participants à l’événement organisé par le think tank ghanéen Imani Center for Policy and Education ont critiqué à cet égard l’admission dans l’Organisation de l’unité africaine (OUA), puis son maintien par l’UA, d’une « entité non étatique, qui est depuis une source d’obstructions et de divisions ». Selon les participants, l’UA devrait corriger cet « héritage encombrant » et cette « erreur historique », a indiqué, dans un communiqué, l’Imani Center for Policy and Education.

 

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