Brahim Ghali comparaîtra devant la justice, par visioconférence s’il le faut

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Le juge espagnol en charge de l’affaire Brahim Ghali durcit le ton et affirme que Brahim Ghali devra se présenter à sa convocation, par visioconférence si son état de santé ne lui permet pas de se rendre à Madrid. Le juge a toutefois refusé de le placer en détention provisoire.

Bien qu’il y ait refusé de signer la convocation émise par l’audience nationale, le citant à comparaitre le 1er juin dans le cadre de deux affaires, Brahim Ghali n’aura d’autre choix que de se présenter devant la justice. C’est du moins ce qui ressort des trois dernières décisions prises par le juge Santiago Pedraz en charge des affaires visant le chef séparatiste.

D’abord, le juge s’est opposé à la détention du Brahim Ghali, qui avait été demandée par les deux auteurs des plaintes qui pèsent contre lui.

Toutefois, le juge a ordonné, par le biais des tribunaux de Logroño, d’informer Brahim Ghali des plaintes contre lui pour génocide et autres crimes, après avoir reçu la confirmation de la police qu’il s’agissait bien de lui, bien que son hospitalisation se fasse sous une fausse identité, rapporte le quotidien El Mundo.

Le juge indique dans ce sens que l’intéressé devra désigner un avocat pour le représenter dans cette affaire et l’accompagner pour sa convocation le 1er juin.

Le juge a également demandé au juge doyen de Logroño de préparer une visioconférence au cas où Ghali resterait hospitalisé mardi prochain et ne pourrait pas se rendre à Madrid, rapporte la même source. En plus de charger la police nationale de fournir des rapports détaillés sur l’état de santé de Brahim Ghali.

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