Une nouvelle découverte scientifique a été faite au Maroc.
La nouvelle Charte d’investissement a redynamisé l’activité industrielle au Maroc
Publié leL’investissement au Maroc vit au rythme d’une importante dynamique depuis l’entrée en vigueur de la nouvelle Charte d’investissement, a indiqué, jeudi à Rabat, le ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas.
En réponse à une question sur la stratégie gouvernementale relative à la mise en œuvre de la Charte d’investissement, lors d’un point de presse à l’issue du Conseil de gouvernement, Baitas a relevé que les mécanismes établis par la Charte d’investissement afférents à l’aide à l’investissement dans les zones éloignées ont commencé à porter leurs fruits, notant que le développement des investissements n’est plus l’apanage de certaines zones.
Le chantier de l’investissement se poursuit à la faveur d’efforts constants pour atteindre les objectifs escomptés, a-t-il poursuivi, faisant état d’investissements conséquents qui auront un impact positif sur le domaine de l’emploi, lequel dépend de divers facteurs, au premier rang desquels le climat des affaires, les politiques publiques et la capacité des secteurs stratégiques à offrir des opportunités d’emploi.
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Il a, dans ce sens, rappelé la signature ce jeudi d’une convention d’investissement stratégique d’un montant de 12,8 milliards de dirhams, portant sur la réalisation d’un écosystème industriel complet de fabrication de batteries électriques à Kénitra, qui permettra la création de 17.000 emplois directs, indirects et induits, dont 2.300 à haute qualification.
Conformément aux Hautes Orientations de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc est devenu une destination attractive pour les investissements grâce à son engagement en faveur de la modernisation de l’arsenal juridique relatif à l’investissement et de l’amélioration du climat des affaires en général à travers la simplification des procédures, a-t-il dit, précisant que ces textes juridiques seront consolidés par la loi relative à la réforme des centres régionaux d’investissement.
Selon lui, placer le dossier de l’emploi comme priorité pour le reste du mandat gouvernemental est dicté notamment par la conjoncture actuelle, en particulier la succession des années de sécheresse qui ont affecté certains secteurs, notamment l’agriculture, ce qui nécessite d’accorder une attention toute particulière à cette question au niveau des politiques publiques.