Affaire Gdim Izik: la DGAPR répond à Amnesty International sur les prétendus cas de torture

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Un gardien transportant des menottes et des clés de cellules dans la prison de Kénitra, le 31 août 2021. Photo: AFP.

La Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) a démenti, mercredi, les allégations contenues dans le dernier rapport d’Amnesty International (AI) sur des prétendus cas de torture au sein des établissements pénitentiaires, notamment le cas du détenu L.H à la prison locale de Tifelt 2 suite aux événements de Gdim Izik.

« Le détenu précité n’a jamais été agressé par aucun fonctionnaire de l’établissement pénitentiaire où il purge sa peine et jouit, à l’instar de l’ensemble des détenus, des droits garantis par la loi régissant les prisons », a relevé la DGAPR dans une mise au point.

« Fidèle à son habitude, Amnesty International véhicule, à chaque fois qu’il s’agit du Royaume du Maroc, des allégations mensongères en colportant la propagande des ennemis de l’intégrité territoriale du Royaume et en la transformant en « faits » sans le moindre effort de vérification, notamment en contactant directement l’administration ou encore les institutions nationales concernées par la protection des droits de l’Homme, en violation flagrante des fondements de l’action des droits de l’Homme que cette organisation prétend pratiquer », déplore la DGAPR.

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