Adultère, vengeance et mauvais sorts: quand Achoura et magie noire se rencontrent

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Malgré le caractère saint du mois de Moharram, c’est le jour de Achoura que privilégient les chouaffates et les Fqihs pour pratiquer des rituels pas très musulmans.
Elles veulent s’assurer de la fidélité de leur mari, lui retirer tout pulsion sexuelle à l’égard d’une autre femme, quand d’autres prient Dieu et les esprits de mettre enfin un mari sur leur chemin. Pour certaines, les rituels de magie servent à donner un gros coup de pouce à une affaire naissante, à faire fructifier un pactole ou, dans un registre plus obscur, à la vengeance.
A chaque demande, un rituel que l’on pratique chez la chouaffa ou le fqih après avoir fait ses emplettes chez le «Aâttar».  En ce jour de Achoura, le business de la magie se porte bien. Tant et si bien que certains augmentent d’ailleurs le prix de leurs «consultations».
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